Pourquoi Sidi
Bou Saïd ?
Sidi Bou Saïd est connu pour ses maisons blanches et bleues, sa lumière éclatante, sa douceur méditerranéenne.
Mais derrière cette carte postale, une réalité plus discrète se cache : celle des chats errants, discrets mais omniprésents dans les ruelles.
C’est ici, dans ce décor familier, que Sidicats a décidé d’agir — pour qu’aucun être vivant ne reste invisible.
Un lieu d’attachement, devenu lieu d’action
L’idée de Sidicats est née ici, au fil de rencontres avec ces chats oubliés.
Pour le fondateur de l’association, franco-tunisien, ce village n’est pas seulement un décor magnifique : c’est un lieu de mémoire et de lien familial.
Ce lien personnel a ouvert les yeux sur un besoin urgent mais simple : veiller sur ceux qu’on ne remarque plus.
Aujourd’hui, à travers des actions locales et solidaires, Sidicats agit pour offrir aux chats errants de Sidi Bou Saïd un peu de respect, de soins… et une place dans le regard des passants.
Ce que le touriste ne voit pas toujours
Dans un lieu si fréquenté, les chats errants sont omniprésents, mais peu pris en charge.
Ils font partie du paysage, mais vivent trop souvent sans soins, sans nourriture, sans abri.
Il n’existait pas, à ce jour, de projet structuré à l’échelle du village.
Et pourtant, le besoin est visible, et les habitants sont nombreux à s’en soucier.
Une initiative locale, simple et sincère
C’est dans ce mélange d’attachement, d’héritage et d’amour pour la médina qu’est née l’association Sidicats.
Pas une grande organisation. Une initiative locale, portée par des amoureux des animaux et des rêveurs qui refusent l’indifférence.
Nous agissons pour nourrir, soigner, protéger et valoriser les chats libres de Sidi Bou Saïd.
Avec l’aide de vétérinaires, de premiers soutiens, de bénévoles — nos SidiCats Sitters — les premiers projets voient le jour :
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Des CatHouses, abris discrets et utiles
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Des CatSources, abreuvoirs en terre cuite
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Des tournées croquettes,
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Et bientôt une campagne de stérilisation
Un village comme modèle
Agir à Sidi Bou Saïd, c’est aussi montrer qu’il est possible de réconcilier patrimoine, tourisme et respect du vivant.
Ici, chaque ruelle a son chat. Nous pensons qu’aucun être vivant ne devrait y être invisible.